mercredi 30 mars 2011
mercredi 16 mars 2011
Très étrange.
Hier, en revenant chez moi après les courses, s'est produit un étrange phénomène.
Dans les escaliers, soudain, la qualité particulière de la lumière et duu silence m'a projeté loin en arrière dans le passé. Mais le souvenir, l'impression était très ténue et s'est disspé, presque immédiatement. Je n'ai pas réussi à le rattraper : c'est passé sur moi comme un nuage, et puis plus rien.
Cette impression ténue avait à voir avec celle-ci : été, chaleur, soleil, lumière, salle de bain au carrelage blanc, bain (douche). Pour cette impression, il faut que le bain coule, que l'eau coule. Il y a une qualité du son de l'eau qui coule dans la salle de bain baignée de lumière qui me rappelle autre chose. (quand j'étais enfant) C'est un souvenir très agréable.
Mais celui qui est passé sur moi hier est aussi très agréable et j'essaie désespérément de rattraper ce feeling. Il me semble associé à la montée d'escalier de l'immeuble que nous habitions il y a très longtemps. Toute blanche, elle avait quelque chose de très minéral car les marches étaient en une sorte de pierre lisse, la rampe en métal (balustrade peintr en vert, il me semble, avec une rampe couleur cuivre, peut-être vraiment en cuivre). Dans mon souvenir, les escaliers étaient très alrges : toutes les montées d'escalier d'immeuble que j'ai connue ensuite m'ont toute parues plus étroites. Il y avait à chaque inter palier une fenêtre en verre dépoli (ou dépoli sur une aprtie de la hauteur) qui laissaient entrer de la lumière.
Contrairement à une montée d'immeuble parisien (façon Hausmann) (bois, parfois tapies, des sons "clos"), quand on montait, le bruit des pas résonnait dans cet univers de murs, pierre et vitres. J'ai aussi connu des montées d'escaliers du mème genre (comme celle de mon immeuble) mais plus petite et close par une porte palière. Le son n'y résonne pas de même.
Le sentiment que j'ai, me semble-t-il, est de pérennité, d'éternité peut-être. je rentre de l'école, j'ai donc une dizaine d'années. Je fais le même chemin tous les jours, chaque retour d'école s'inscrit dans une trace de retour d'école. COmme un dessin que l'on repasse mille fois. Je monte les escaliers, j'arrive devant la porte... Tout va bien.
Ce sentiment que tout va bien, je ne l'ai progressivement plus ressenti ensuite...
Hier, en revenant chez moi après les courses, s'est produit un étrange phénomène.
Dans les escaliers, soudain, la qualité particulière de la lumière et duu silence m'a projeté loin en arrière dans le passé. Mais le souvenir, l'impression était très ténue et s'est disspé, presque immédiatement. Je n'ai pas réussi à le rattraper : c'est passé sur moi comme un nuage, et puis plus rien.
Cette impression ténue avait à voir avec celle-ci : été, chaleur, soleil, lumière, salle de bain au carrelage blanc, bain (douche). Pour cette impression, il faut que le bain coule, que l'eau coule. Il y a une qualité du son de l'eau qui coule dans la salle de bain baignée de lumière qui me rappelle autre chose. (quand j'étais enfant) C'est un souvenir très agréable.
Mais celui qui est passé sur moi hier est aussi très agréable et j'essaie désespérément de rattraper ce feeling. Il me semble associé à la montée d'escalier de l'immeuble que nous habitions il y a très longtemps. Toute blanche, elle avait quelque chose de très minéral car les marches étaient en une sorte de pierre lisse, la rampe en métal (balustrade peintr en vert, il me semble, avec une rampe couleur cuivre, peut-être vraiment en cuivre). Dans mon souvenir, les escaliers étaient très alrges : toutes les montées d'escalier d'immeuble que j'ai connue ensuite m'ont toute parues plus étroites. Il y avait à chaque inter palier une fenêtre en verre dépoli (ou dépoli sur une aprtie de la hauteur) qui laissaient entrer de la lumière.
Contrairement à une montée d'immeuble parisien (façon Hausmann) (bois, parfois tapies, des sons "clos"), quand on montait, le bruit des pas résonnait dans cet univers de murs, pierre et vitres. J'ai aussi connu des montées d'escaliers du mème genre (comme celle de mon immeuble) mais plus petite et close par une porte palière. Le son n'y résonne pas de même.
Le sentiment que j'ai, me semble-t-il, est de pérennité, d'éternité peut-être. je rentre de l'école, j'ai donc une dizaine d'années. Je fais le même chemin tous les jours, chaque retour d'école s'inscrit dans une trace de retour d'école. COmme un dessin que l'on repasse mille fois. Je monte les escaliers, j'arrive devant la porte... Tout va bien.
Ce sentiment que tout va bien, je ne l'ai progressivement plus ressenti ensuite...
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